Colères, Agitation, Mauvaises Conduites: 6 raisons principalesn°1: LA FATIGUE ET LA FAIMFatigue: le manque de sommeil provoque de l'hyperexcitation et intensifie les émotions négatives.
La fatigue entraîne un important désequilibre du taux de sucre dans le sang qui se répercute énormément sur l'humeur.
MAIS LA FATIGUE N'EXPLIQUE PAS TOUT, un comportement mal interprété peut susciter chez l'enfant le sentiment douloureux d'être incompris, et le parents passent à côté du problème, qui finalement ne sera pas résolu, et peut se représenter à nouveau.
Faim: la faim perturbe le système hormonal du cerveau, l'enfant explose en colère.
L'enfant ne forumulera pas forcément qu'il a faim, mais son humeur s'en ressent.
=> prendre un bon petit déjeuner (incluant des protéines) permet d'avoir une humeur plus stable dans la journée.
L'hypoglycémie en traîne un comportement désordonné, semblable à qlq'1 qui a bu.
Donner SUCRES, BONBONS, CHOCOLAT, quand l'enfant à l'ESTOMAC VIDE, transforme votre enfant en bombe à retardement:
=> le sucre provoque une montée en flâche du sucre dans le sang
=> puis grosse chute au bout de 30 minutes
= HYPOGLYCEMIE => HYPERACTIVITE: l'enfant CRIE ET GRIMPE PARTOUT.
essayez de complémenter l'apport de sucre avec apport complémentaire de protéine.
Certains additifs alimentaires rendent les enfants hyperactifs.
On les retrouvent essentiellement dans les biscuits, les bonbons, les boissons sucrées (limonade, coca,etc), les chips, les confitures, certains dessert, jus de fruits, edulcorant (faux sucre contenus par exemple dans les boisson aromatisées).
Pourquoi pas, préférer des biscuits et autres bonbons Bio, qui contiennent moins de choses nocives, pas de colorants, d'édulcorants, et qui permettent de laisser les enfants avoir le plaisir de manger des biscuits.
n°2 : UN CERVEAU IMMATURE
Leur cerveau ne permet pas d'agir autrEment et d'inhiber les réflexes d'experimenter, de sauter, de grimper partout.
C'est le COMPORTEMENT NORMAL pour un enfant.
Ce sont les normes de la société dans laquelle nous vivont qui ne sont pas adaptées aux petits de l'éspèce humaine. Dans les pays où les enfants sont libre de se laisser être, les enfants dévelloppent un equilibre mental et physique optimum (cf: le Concept du Continuum de Jean Liedloff).
N°3 : BESOINS PSYCHOLOGIQUES NON ASSOUVIS:
STIMULATION, RECONNAISSANCE, STRUCTURATION
Le manque de STIMULATION nuit au cerveau.
Si l'enfant s'ennui, il fera tout pour faire changer la situation: taper sa soeur, renverser son verre, crier, etc...
Le BESOIN DE RECONNAISSANCE: "si j'ai un impact, je sais que j'existe"
si un enfant n'attire pas l'attention quand il est sage et attire l'attention quand il fait des bêtises, il fera ce qu'il faut pour attirer l'attention pour lui, afin de répondre à son besoin naturel de reconnaissance.
L'enfant à besoin de STRUCTURATION, de repères, et savoir que ses parents lui donne des limites AVEC BIENVEILLANCE le rassure, car lui même n'est pas capable de s'en fixer.
n°4 : DES EMOTIONS FORTES
Les colères, agitation et mauvaises conduites peuvent être engendré par des émotions trop fortes,
l'enfant se libère de ses emotions trop fortes (enervement, frustration, jalousie, perte, chagrin, rancune, etc)
Ceci est un APPEL A L'AIDE, l'enfant à besoin d'être entendu et rassuré, calmé avec bienveillance
=> EVITER DE REAGIR VIOLEMMENT OU EN CRIANT
n°5 : LE STRESS DES PARENTS
Plus les parents sont énervés, tendus, plus les enfants deviennent intenables. Ils sentent l'electricité dans l'air et y sont très sensibles.
n°6 : LES PARENTS STIMULENT LES MAUVAISES PARTIES DU CERVEAU:
un comportement trop autoritaires, les cris, stimulent les sytèmes primitifs du cerveau => COLERE, PEUR, FRUSTRATION, PERTE, SENTIMENT D'ETRE INCOMPRIS
un comportement incluant le JEU, le RIRE, les CALINS, stimule le système cérebraux du JEU et de l'AFFECTION, qui déclenche la secrétion d'OPIOÏDES au vertus apaisante, l'enfant se calme.
LES CRISES DE COLERES SONT SOUVENT DECLENCHEES PAR UN SENTIMENTS D'IMPUISSANCE, DE FRUSTRATION.
Mettez vous à la place d'un enfant de 2 ans dont chaque geste est contrôlé, il doit toujours demander pour que l'on réponde à ses besoins, et la réponse à ses besoins dépend de l'humeur et du bon vouloir de ces parents, cela ne vous rendrait ils pas irritable voir en colère de vivre cela au quotidien?
alors imaginez pour un petit être dont le cerveau est encore immature, et dont les sentiments sont exacerbés!
FAIRE PREUVE DE DOUCEUR PENDANT LES COLERES pour aider l'enfant à se calmer.
LES ENFANTS NE SAVENT PAS SE CALMER SEULS, ILS ONT BESOIN DE NOTRE AIDE POUR REUSSIR A SE CALMER, A SE LIBERER DE CE FLOT D'EMOTIONS QUI LES SUBMERGENT LITERALLEMENT.
En colère, l'enfant n'est PLUS CAPABLE D'ENTENDRE ni de PARLER. Inutile donc de vouloir lui faire entendre raison à ce moment là.
Passer des menaces aux promesses peut être une bonne alternative pour éviter les sentiments de frustration de l'enfant,
dire par exemple "je te promets que si tu ranges ta chambre tu iras jouer dehors", (l'enfant aura envie de coopérer)
plutôt que "si tu ne ranges pas ta chambre tu n'ira pas jouer dehors!" (ordre absolu, l'enfant risque de se braquer avec cette deuxième) affirmation.
Il eexiste 2 TYPES DE COLERES DISCTINCTES, et il est important de savoir les reconnaitre, car on ne réponds absolument pas de la même manière à la première qu'à la deuxième.
Les Colères de DETRESSE: l'enfant, surtout chez les très jeunes enfants, souffre et ne peut pas se calmer sans l'aide bienveillante de ses parents, tous simplement parce que son cerveau n'est pas encore capable de sécreter l'hormone qui permettra à l'enfnat de se réguler et de se calmer de lui même. Ce sont nos gestes (prendre dans les bras, caresse, chuchotement, qui permmettent au cerveau d'envoyer la réponse necessaire à l'enfant pour se calmer.
Chez les très jeunes enfants, les colères sont toujours des colères de détresse. le laisser tout seul ou le punir à ce moment là est contre productif voir cruel car l'enfant n'y peut pas grand chose.
L'enfant prends peur de l'intensité de ses émotions, il se retouve en grande détresse, son corps ne lui réponds plus, c'est très stressant, effrayant.
Les colères du petit Néron (du petit tyran):
chez les enfants plus grand, on rencontre plus fréquemment la colère du petit Néron.
L'enfant veut quelque chose par exemple, et face au refus, il va piquer une colère.
Avec ce genre de colère, il ne faut ABSOLUMENT PAS CEDER, car l'enfant continuerais dans cette voie et piquerais une colère à chaque fois pour vous faire changer d'avis.
Si vous souhaiter revenir sur votre décision, vous lui avez dit non mais votre non n'étais pas fondé, votre enfant est en pleine crise de colère, et vous souhaitez lui accorder ce qu'il à demander, non pas parce quil pique une colère, mais parce que vous trouvez votre non injuste:
- vous pouvez soit lui expliquer votre décision, si l'enfant est assez agée pour comprendre, en lui expliquant que vous avez reflechis à nouveau et dit Non trop vite, et que ce n'est en aucun cas sa colère qui à entrainer votre changement d'avis.
- vous pouvez également "faire diversion", exemple: "écoute, tu te calme, ta va te laver les mains, et ensuite tu viens t'assoir à table et tu auras ta glace.
L'enfant oublie généralement sa colère et obtenpère pour que lon réponde à sa demande, dans sa tête ce n'est plus vraiment la colère mais le fait qu'il est obtempéré qui lui à permis de recevoir sa glace. Vous pouvez également complèter ensuite avec l'explication à votre enfant : "j'ai répondu non un peu vite, c'est pour cela que j'ai changé d'avis".
Dans les 2 options, rappeller tout de même à votre enfant que FAIRE UNE COLERE DU PETIT NERON N'EST PAS ACCEPTABLE, et que vous serez très ferme à ce sujet la prochaine fois.
Certaines COLERES DU PETIT NERON peuvent se transformer en COLERE DE DETRESSE, puisque l'enfant fini par être envahis par ses émotions et n'arrive plus à se calmer.
Dans ce cas, aider le à se calmer avec bienveillance, en le prenant dans vos bras, même si il refuse au départ, afin de l'aider à se calmer.
Mais dans tout les cas, ne cèder pas à ce qui lui à fait faire cette colère initialement.
Cela non pas pour être dans un rapport gagnant/perdant, mais pour que l'enfant ne fasse pas le lien: je fais une colère alors on me donne, car l'enfant pourrait exploiter au maximum ses capacités!
cet article est inspiré de la lecture du livre de Margot Sunderland:
Un Enfant Heureux, faîtes des choix éducatifs avertis grâce au récentes découvertes scientifiques.
Je recommande vivement ce livre
Natacha
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